Le prix des cigarettes en Europe et surtout en France est un sujet toujours controversé car témoins de nombreuses augmentations de leur prix de vente et/ou des taxes. Bien que les méfaits du tabac soient connus depuis plus de 20 ans, l’Europe est encore attachée à la cigarette. Selon les chiffres de la Commission, en 2012, l’UE compterait encore 28% de fumeurs. Au delà de la santé, une question : Quel est le prix des cigarettes en Europe ?

Rappelons que ces chiffres datent de 2012 et qu’ils ont subit quelques hausses.

Le prix des cigarettes en Europe est variable selon les pays. Il peut varier de 0,73 centimes à plus de 10 euros ! La cigarette est un plaisir pour certains, mais celui-ci a un cout qui n’est pas des moindres. En Norvège et au Royaume-Uni, il vous faudra sortir plus de 100 euros pour acheter une cartouche. 13 euros, c’est le prix moyen du paquet chez les Norvégiens, 11,5 euros chez les Anglais. De l’autre côté, on trouve les clopes les moins chères en Moldavie (76 centimes) en Ukraine (1,2 euros) et en Biélorussie (1,34 euros) en 2016.

En France, le prix moyen du paquet de cigarettes se situe aux alentours de 7 euros depuis 2014. Admettons que vous fumez 3 paquets par semaine :  en un an, vous dépensez un SMIC. Un peu plus de 1 100 euros !

En douze ans, le prix du paquet de cigarettes Malboro – la marque plus vendue – a flambé de 3 euros, selon les chiffres du ministère du Budget (Voir encadré ci-dessous). Et ce n’est visiblement pas près de s’arrêter. Le paquet de cigarettes à 7,50 euros minimum d’ici trois ans est en passe de devenir une réalité pour bon nombre de fumeurs en France.

Le tabac serai un phénomène social : une étude de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES) relève ainsi 32,8 % de fumeurs chez les personnes sans qualification, contre seulement 18,5 % à partir de bac+5. En clair, moins on est diplômé, plus on exerce un métier difficile et plus on fume.

Nous avons l’habitude d’entendre parler d’acheteurs d’art et de grands crus. Saviez-vous que la voiture de collection, avec des augmentations de prix allant jusqu’à 400%, surpasse tous bénéfices possibles et serait en passe de devenir la meilleure amie des collectionneurs ?

Odeur de cuir vieilli, douceur du volant usé, pédales un peu difficiles… la voiture de collection renvoie souvent aux souvenirs heureux de l’enfance : premiers moments passés auprès du paternel, longs trajets de vacances soleil tapant sur la capot tout chaud, premières ballades entre amis à la majorité… Mais voilà qu’au milieu des évaporations d’huiles et d’essences, de nouveaux acheteurs se manifestent : ces voitures que seuls les passionnés de mécaniques s’appropriaient, commencent à faire pâlir d’envie les collectionneurs du monde entier.

Pourquoi acheter une voiture de collection ?

C’est l’internationalisation des ventes d’Artcurial, promulguée en 2011, qui attire les riches étrangers et donne à la voiture de collection valeurs et grandeur. Mais l’avantage de ce marché est qu’il n’est pas réservé aux très riches, et n’importe quel acheteur un peu avisé peut faire de beaux bénéfices.

Quelques astuces à savoir :

• Les collectionneurs affectionnent particulièrement les véhicules d’après guerre et les traditionnels “gros moteurs” comme les Ferraris, Aston Martins, Jaguar et Maserati…
• Contrairement à ce que l’on peut imaginer, les véhicules d’avant guerre sont souvent dévalués et difficiles à revendre, ils demandent en effet souvent trop de connaissances en mécanique et ne sont plus rentables pour trop d’expertise.
• Très important pour garantir la qualité du véhicule, que le moteur soit d’origine, sortie d’usine, c’est ce qui assure la bonne valeur.
• Les voiture françaises ne sont pas en reste, comme par exemple cette DS 23 berline vendue 185 000 euros lors d’une vente aux enchère en 2012.
• Le petit plus à savoir, même si une taxe est appliquée pour l’achat d’une voiture de collection (sur les plus-values à la revente), le véhicule n’est pas pris en compte dans le calcul de l’ISF… Un bon moyen de naviguer entre le système, au volant d’un bolide dont on peut jouir et profiter pleinement, et qui finit par s’avérer plus distrayant et sur le long terme qu’une oeuvre d’art, un bon vin ou une montre de collection..

De nombreux sites web se sont spécialisés dans la voiture de collection, comme classiccar qui est spécialisé dans la location de voiture de collection anglaise. Et vous, prêts a investir ?