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Les alternatives low-cost aux frais élevés des parkings des aéroports.

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Pour la plupart des voyageurs, garer sa voiture au parking de l’aéroport est facile et pratique. Cela fait gagner du temps, aussi bien à l’aller pour se rendre à l’aéroport qu’au retour pour rentrer chez soi. C’est également la solution privilégiée par ceux qui n’aiment pas trop les transports en communs, qui vivent loin ou qui voyagent très chargés.Cependant cette facilité à un prix, et les frais de parking à l’aéroport représentent souvent un coût supplémentaire dans le budget des voyageurs. Une chose est sûre, en ces temps de crise, les prix de parking des aéroports sont coûteux et ridiculement élevés pour de nombreux voyageurs.

Quelles sont les alternatives au parking  de l’aéroport ?

 

Prendre un taxi :
On peut décider de prendre un taxi, mais à condition de ne pas vivre trop loin de l’aéroport. Le compteur monte vite et cette solution peut rapidement devenir onéreuse. En revanche, si votre portefeuille vous le permet, ce mode de transport s’avère être confortable. Mais il suffit de vous retrouver coincé dans les embouteillages en heures de pointe pour vite déchanter…

 

Utiliser les transports en commun :
On peut décider d’utiliser les transports en commun. Les prix y sont très compétitifs, même si le confort peut laisser à désirer. Il faut également prévoir large niveau timing, pour prévoir tout retard possible et éviter de rater son avion !  En cas de bagages volumineux, ce choix peut également se révéler périlleux, pour trouver une place et déplacer les bagages entre les correspondances. Dans ce cas, il peut s’avérer intéressant d’opter pour le rapport coût-­efficacité et la commodité du parking de l’aéroport.

 

Demander à un proche :
Une des alternatives consisterait à demander à un membre de votre famille, un ami ou un collègue de vous conduire à l’aéroport. Cette solution n’est pas toujours évidente, en particulier quand votre vol est très tôt ou très tard dans la journée.

 

Trouver un parc automobile local :
Rien ne vous oblige à renoncer à votre stationnement au parking à l’aéroport. Il vous suffit de chercher des sociétés de parking d’aéroport off-­site. Les parkings à l’extérieur de l’aéroport coûtent en général beaucoup moins cher et offrent généralement un service de navette pour vous conduire à l’aéroport.Faites votre recherche sur internet ou dans les annuaires en ligne, vous trouverez certainement des sociétés de services de parc automobile conseillées par votre aéroport de départ.Assurez-­vous juste que la société est digne de confiance, que votre véhicule est assuré et en sécurité pendant la durée de son stationnement et que le parking dispose d’un système de vidéosurveillance mis en place. Demandez également si le parking est couvert ou en plein air, et assurez-­vous qu’une place de parking attitrée sera mise à votre disposition.

 

Faire appel à des sociétés privées de parking et d’auto-­partage :
23 400 particuliers font confiance aujourd’hui au concept du carsharing et partagent l’usage de leur véhicule en France.Les sociétés privées de parking et de carsharing proposent de mettre votre véhicule en location pendant votre voyage. La société s’occupe de tout de A à Z, de sorte que vous n’ayez pas à vous inquiéter de quoi que ce soit. Vous bénéficiez d’une assurance tous risques et d’une assistance 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.A titre d’exemple, TravelerCar, pionnier dans ce domaine et 1ère plateforme européenne de partage de véhicules entres voyageurs aux aéroports Roissy CDG, Orly et Beauvais, vous procure non seulement une place de parking gratuite à l’aéroport mais vous donne également l’opportunité de gagner de l’argent si votre votre véhicule est loué via les réseaux sécurisés. Votre parking reste toujours gratuit même si votre voiture n’a pas été louée durant votre voyage et vous pouvez même obtenir quelques services supplémentaires tel le lavage intégral de votre véhicule.Le concept de la consommation collaborative connaît un franc succès auprès des voyageurs en France et les adeptes des démarches économiques, solidaires et éco-responsables sont de plus en plus nombreux.Le parking de l’aéroport est un coût de voyage qui est souvent négligé jusqu’au jour de départ et peut vous causer alors un choc plutôt désagréable.Planifiez à l’avance, renseignez-­vous et comparez le coût et la commodité de chaque option de déplacement à l’aéroport qui s’offre à vous. Ca vous évitera les frais de stationnement rip-­off et les mauvaises surprises de dernières minutes. 

On veut tous partir en voyage l’esprit tranquille,
économiser notre argent et nous épargner le stress et les mauvaises surprises.
N’est-­ce pas ?
Maintenant à votre tour. Vous connaissez d’autres alternatives à partager avec nous ? Vous voulez nous faire part de vos propres expériences avec les parkings d’aéroports ou les alternatives lowcost ? N’hésitez pas à les partager dans la section commentaire.

 

Pour en savoir plus sur le concept et les procédures de TravelerCar et sur le partage de véhicules entres voyageurs aux aéroports de Roissy CDG, Orly et Beauvais, rendez-vous sur www.travelercar.com

 

La consommation collaborative, vous connaissez ?

 

La consommation collaborative vous connaissez ?

Phénomène relativement nouveau, et de plus en plus en vogue en France, la consommation collaborative gagne de l’ampleur. Son développement a commencé par les sites de location d’appartements entre particuliers, avec Airbnb, puis le concept s’est étendu à différents secteurs : la voiture, les biens matériels, etc.

La consommation collaborative propose une manière alternative de consommer, qui se focalise sur l’optimisation des biens et services existants plutôt que d’en créer de nouveaux. Il s’agit de visualiser avant tout l’usage d’un bien plutôt que sa possession.

Ce système permet de faire des économies, mais a aussi des avantages sociaux et environnementaux. De nombreuses plateformes ont ainsi vu le jour pour permettre à ces échanges, entre mutualisation et réutilisation, de se réaliser plus facilement : le Bon coin pour la revente d’objets, Blablacar pour le covoiturage, et maintenant TravelerCar pour le partage de véhicules aux aéroports.

 

C’est quoi l’économie collaborative ?

La consommation collaborative est l’un des aspects d’un concept plus large, l’économie collaborative, qui regroupe également trois autres thématiques, selon la définition proposée par le collectif OuiShare :

  • L’open source et la production contributive, qui propose le partage de la création via des structures comme les FabLab, des outils comme les imprimantes 3D, etc. ;
  • La finance collaborative, qui permet à tout individu d’apporter sa contribution financière à un projet qui lui tient à coeur, en parallèle de systèmes de transaction différentiés, comme les monnaies complémentaires ou l’économie du don ;
  • L’open knowledge, qui vise à permettre à tous d’accéder aux savoirs de secteurs tels la culture, la science, l’économie, la poltique.

Chacune de ces thématiques est illustrée par un exemple phare, qui a précédé de nombreuses initiatives. L’un des premiers exemples de crowfounding est la campagne de financement du premier album de la chanteuse Irma via la plateforme My Major Company, qui a été reprise et mise en scène dans une publicité Google Chrome.

Le financement participatif permet ainsi de créer un système hors des moyens classiques de financement et de donner la chance à des projets “hors catégorie” de voir le jour. Ainsi, un projet a connu un engouement très important sur le site américain Kickstarter : la création du film Veronica Mars, tiré de la série du même nom. La Warner Bros ayant de refusé de financer le film, le producteur Rob Thomas a obtenu la promesse que s’il réunissait une certaine somme pour produire le film, la Warner financerait par la suite le marketing et la promotion du film. Convaincu de la notoriété de la série auprès des fans, Rob Thomas a lancé une campagne de 30 jours sur Kickstarter pour réunir deux millions de dollars. La somme a été atteinte en moins de 10 heures. L’un des donateurs a même offert 100 000 dollars afin d’avoir un rôle de figurant/acteur dans la production !

 

Devenir consomm’acteur

Cet exemple illustre le succès de ce nouveau moyen de consommer, qui permet dans un sens de devenir consomm’acteur, dans la mesure où les structures de la consommation collaborative redonnent un certain pouvoir à l’utilisateur, celui de choisir où il veut acheter et de quelle manière.

Le développement rapide de la consommation collaborative est permis par le recours aux nouvelles technologies, qui donnent un accès rapide et localisé de l’information. Un grand nombre de ces solutions permettent avant tout de faire des économies. La crise est souvent évoquée comme un catalyseur qui a permis le développement de la consommation collaborative.

Dans une grande partie des cas, c’est pour retrouver un pouvoir d’achat perdu que les consommateurs s’orientent vers ces modèles alternatifs de consommation.

Mais une fois ces systèmes testés et approuvés, ils y reviennent parce qu’ils ne conçoivent plus de passer par les systèmes traditionnels, quand les nouveaux sont synonymes de gain de temps et d’argent.

Ces systèmes passent par le partage mais aussi le troc, la récupération, la réutilisation. Le Bon coin par exemple est devenu un réflexe dans nombre de foyers pour y vendre meubles et tout objet d’occasion. La tendance est ainsi à l’achat utile et davantage réfléchi, pour les adeptes de la consommation collaborative. Les économies faites sont réinjectées dans les loisirs, ou tout simplement dans quelque chose qui nous fera plaisir.

C’est le but de TravelerCar : les économies faites sur le coût du parking et l’argent gagné en mettant à disposition son véhicule pour d’autres voyageurs pourront être utilisées pour s’octroyer une activité ou un petit plus en voyage, qui n’aurait pas été possible en prévoyant un budget parking classique.